Manchester United a fait son devoir, ce dimanche, en dominant Swansea dans le cadre de la 37e levée de Premier League (2-0). Pourtant malgré la victoire, le coeur n'y était pas dans les tribunes d'Old Trafford, douchées auparavant par le succès de Manchester City sur le terrain de Newcastle (0-2). Seuls les Queens Park Rangers peuvent désormais s'opposer au sacre des Citizens, dimanche prochain. Improbable...
Drôle d'ambiance ce dimanche à Old Trafford... Le Théâtre des Rêves a bien chanté, le Théâtre des Rêves a bien vibré. Mais le coeur n'y était tout simplement pas. Plus tôt dans l'après-midi, Manchester City avait douché l'enthousiasme des défenseurs de la cause mancunienne, s'imposant sur la pelouse de Newcastle, dernier rempart présumé au sacre des Citizens. Yaya Touré, par deux fois, avait trouvé la faille dans les rangs de la "Toon Army", confortant ainsi le leadership des hommes de Roberto Mancini, à 90 minutes du but les concernant...
Une victoire devant des Queens Park Rangers menacés de relégation le week-end prochain et le titre sera acquis pour City. Ce, même si Manchester United réalise un carton plein de son côté - sauf à rattraper son grand retard à la différence de buts. Car si les Red Devils ont assuré l'essentiel dans la foulée des Skyblues, disposant des courageux Gallois de Swansea pour recoller aux Citizens au classement, l'écart entre les deux Manchester au bilan des réalisations semble rédhibitoire pour les troupes de Sir Alex Ferguson (+55 contre +63). D'autant que le déplacement à Sunderland dimanche prochain ne sera probablement pas une partie de plaisir.
Comme un symbole, c'est le vétéran Paul Scholes qui en cette 37e levée de Premier League a montré la voie du succès aux siens, d'une subtile déviation devant le but adverse, sur une frappe de Michael Carrick (1-0, 28e). Le tout sans la moindre démonstration de joie. Ashley Young, second buteur du match, à l'affût d'un tir contré de Wayne Rooney (2-0, 41e), ne sera pas plus expressif. Les Mancuniens le savent, leurs faux-pas récents contre Wigan (revers 1-0) et Everton (4-4) - plus encore que le duel perdu contre City - leur ont probablement coûté le titre. Il y a encore cinq journées, United comptait huit longueurs d'avance sur son rival. Un beau gâchis...
Drôle d'ambiance ce dimanche à Old Trafford... Le Théâtre des Rêves a bien chanté, le Théâtre des Rêves a bien vibré. Mais le coeur n'y était tout simplement pas. Plus tôt dans l'après-midi, Manchester City avait douché l'enthousiasme des défenseurs de la cause mancunienne, s'imposant sur la pelouse de Newcastle, dernier rempart présumé au sacre des Citizens. Yaya Touré, par deux fois, avait trouvé la faille dans les rangs de la "Toon Army", confortant ainsi le leadership des hommes de Roberto Mancini, à 90 minutes du but les concernant...
Une victoire devant des Queens Park Rangers menacés de relégation le week-end prochain et le titre sera acquis pour City. Ce, même si Manchester United réalise un carton plein de son côté - sauf à rattraper son grand retard à la différence de buts. Car si les Red Devils ont assuré l'essentiel dans la foulée des Skyblues, disposant des courageux Gallois de Swansea pour recoller aux Citizens au classement, l'écart entre les deux Manchester au bilan des réalisations semble rédhibitoire pour les troupes de Sir Alex Ferguson (+55 contre +63). D'autant que le déplacement à Sunderland dimanche prochain ne sera probablement pas une partie de plaisir.
Comme un symbole, c'est le vétéran Paul Scholes qui en cette 37e levée de Premier League a montré la voie du succès aux siens, d'une subtile déviation devant le but adverse, sur une frappe de Michael Carrick (1-0, 28e). Le tout sans la moindre démonstration de joie. Ashley Young, second buteur du match, à l'affût d'un tir contré de Wayne Rooney (2-0, 41e), ne sera pas plus expressif. Les Mancuniens le savent, leurs faux-pas récents contre Wigan (revers 1-0) et Everton (4-4) - plus encore que le duel perdu contre City - leur ont probablement coûté le titre. Il y a encore cinq journées, United comptait huit longueurs d'avance sur son rival. Un beau gâchis...
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