Il n'y a pas eu de match. Le Barça a facilement gagné la Coupe du Roi vendredi face à l'Athletic Bilbao (3-0), en pliant le match au bout de 25 minutes grâce à un doublé de Pedro et un but de Messi. Josep Guardiola quitte donc les Blaugrana sur un 14e et ultime trophée, tandis que les Basques ont perdu sur le même score qu'en finale de Ligue Europa, face à l'Atletico Madrid.
Même les supporters basques ont applaudi Xavi à sa sortie. Bilbao n'a pu que s'incliner, et très vite, face à un Barça qui avait retrouvé ses habits d'ogre à l'occasion de cette finale de Coupe du Roi. Lionel Messi a inscrit son 73e but en 60 matches, Pedro a inscrit un doublé, et Barcelone avait plié l'affaire en menant déjà 3-0 au bout de seulement 25 minutes de jeu. Pour son dernier match à la tête des Blaugrana, Josep Guardiola s'est donc offert de jolis adieux. Ce n'était pas comme à l'entraînement, mais presque. C'était simplement conforme à la grande majorité des matches de Liga qu'ont disputés les Barcelonais cette saison.
L'absence de Carles Puyol n'a vraiment pas porté préjudice aux Barcelonais, qui ont décroché leur 14e trophée de l'ère Guardiola contre un Athltic en déliquescence. Battus 3-0 comme en finale de Ligue Europa, les Basques ont encaissé 14 buts sur leurs six derniers matches, sans parvenir à en inscrire un seul. C'est plus difficile comme ça. Un an après la finale homérique remportée par le Real face au Barça, Guardiola a donc bouclé la boucle. En effet, son cycle de titres avait justement démarré par une victoire en Coupe du Roi contre... Bilbao.
Guardiola donne l'accolade à tout le monde
Alors que l'hymne espagnol a été copieusement sifflé par les supporters catalans et basques, la bataille a tourné très court sur le terrain. Pedro ouvre ainsi le score dès la troisième minute de jeu, après un ballon malencontreusement remisé par Xavi Martinez (0-1). Iraola s'envole peu après pour détourner une frappe de Messi (10e), mais l'Argentin ne pouvait pas échouer deux fois. C'est ainsi que dix minutes plus tard, il exécute le portier adverse d'une frappe clinique sous la barre, malgré un angle légèrement fermé (0-2, 20e).
Après le troisième but de Pedro (0-3, 25e), un penalty assez évident est refusé à Llorente suite à une faute de Piqué (27e). Mais c'est bien tout ce que les cinquièmes de Liga ont pu se mettre sous la dent, en y ajoutant peut-être ce centre de Muniain détourné par José Pinto (44e), encore titularisé en Coupe à la place de Valdés. En seconde période, un lob d'Ibai Gomez à côté (52e) n'a pas suffi à faire trembler le Barça. L'efficacité clinique des Catalans en début de match aura donc suffi à faire le travail. Et à offrir une sortie très digne à l'artisan en chef de tous ces succès, qui a étreint tous ses joueurs sur la pelouse à la fin du match.
L'absence de Carles Puyol n'a vraiment pas porté préjudice aux Barcelonais, qui ont décroché leur 14e trophée de l'ère Guardiola contre un Athltic en déliquescence. Battus 3-0 comme en finale de Ligue Europa, les Basques ont encaissé 14 buts sur leurs six derniers matches, sans parvenir à en inscrire un seul. C'est plus difficile comme ça. Un an après la finale homérique remportée par le Real face au Barça, Guardiola a donc bouclé la boucle. En effet, son cycle de titres avait justement démarré par une victoire en Coupe du Roi contre... Bilbao.
Guardiola donne l'accolade à tout le monde
Alors que l'hymne espagnol a été copieusement sifflé par les supporters catalans et basques, la bataille a tourné très court sur le terrain. Pedro ouvre ainsi le score dès la troisième minute de jeu, après un ballon malencontreusement remisé par Xavi Martinez (0-1). Iraola s'envole peu après pour détourner une frappe de Messi (10e), mais l'Argentin ne pouvait pas échouer deux fois. C'est ainsi que dix minutes plus tard, il exécute le portier adverse d'une frappe clinique sous la barre, malgré un angle légèrement fermé (0-2, 20e).
Après le troisième but de Pedro (0-3, 25e), un penalty assez évident est refusé à Llorente suite à une faute de Piqué (27e). Mais c'est bien tout ce que les cinquièmes de Liga ont pu se mettre sous la dent, en y ajoutant peut-être ce centre de Muniain détourné par José Pinto (44e), encore titularisé en Coupe à la place de Valdés. En seconde période, un lob d'Ibai Gomez à côté (52e) n'a pas suffi à faire trembler le Barça. L'efficacité clinique des Catalans en début de match aura donc suffi à faire le travail. Et à offrir une sortie très digne à l'artisan en chef de tous ces succès, qui a étreint tous ses joueurs sur la pelouse à la fin du match.
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